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DFV

Domestication et Fabrication du Vivant

Domestication et fabrication de la vie est une action soutenue par la Mission Interdisciplinarite du CNRS (Pépinière de site CNRSPSL) engage une réflexion interdisciplinaire impliquant les sciences de la Nature (biologie, chimie, physique,…), les sciences humaines (anthropologie, épistémologie, philosophie, sociologie,…) et les technologies (robotique,…) afin d’interroger la frontière et les définitions du vivant et du non-vivant.

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VIAO

La Vie À l'Œuvre

Explorer les potentialités du bioart et du biodesign.

Ce projet réunit des acteurs provenant de diverses institutions de PSL (écoles d’art et design, laboratoires de science de la nature et de sciences humaines et sociales) pour explorer les potentialités représentées par les transferts de biotechnologie dans des pratiques artistiques, artisanales et industrielles se développant dans les domaines du bioart et le biodesign.

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OCAV

Origines et Conditions d'Apparition de la Vie

La question des conditions d’apparition de la vie ou de la présence de la vie dans l’univers, longtemps considérée comme appartenant au domaine spéculatif, est en train de devenir un champ de recherche actif. Ceci touche de nombreux domaines scientifiques de l’astronomie et l’astrophysique (avec la découverte des planètes extrasolaires et notre meilleure connaissance du système solaire grâce aux sondes spatiales), à la physico-chimie et à la biologie (avec nos avancées concernant le monde pré-biotique, l’émergence de la matière vivante, et les étapes clefs de l’évolution). Cette réflexion s’accompagne également d’un questionnement sur notre façon de penser les frontières entre le vivant et le non-vivant et de nous les représenter. Avec le projet IRIS Origines et conditions d’apparition de la vie, PSL souhaite contribuer de manière unique à ce thème

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IMOVIE

Imitation des êtres vivants et modélisation de la vie

Le biomimétisme est souvent présenté comme une solution à la crise écologique que traversent les sociétés humaines. Pour ses défenseurs, cette approche pourrait instaurer, ou restaurer, un rapport moins destructeur à l’environnement, en adoptant des démarches et des processus de fabrication imitant la nature.

Mais au moment d’esquisser les idées directrices pour de nouveaux modèles d’actions individuelles et collectives, il convient de réfléchir aux conceptions de la nature, de la vie et de la technique associées à ces pratiques, et pas seulement dans les sociétés occidentales. Plutôt que de considérer l’imitation de la nature et de la vie comme un mécanisme universel, il s’avère crucial de réfléchir aux fondements anthropologiques du biomimétisme ou – pour insister sur la diversité des pratiques – des « biomimétismes ».